Je devais absolument parler à Waren, Marianne m'avait fait part de ses craintes, et je sentais bien qu'elle avait peur, de son côté séducteur. Elle ne voulait pas s'engager trop vite dans cette relation, par peur de souffrir, d'avoir le coeur brisé !
Je devais mettre les choses au clair surtout, Marianne était mon amie, et Waren était mon ami. J'étais un peu coincée entre les deux, et je ne voulais qu'aucun d'eux n'aient à souffrir d'une telle situation..

J'étais bien décidé à lui en parler, j'arpentais la maison de long en large, jusqu'à le trouver dans sa chambre, tranquillement installé sur son lit. Je me calai contre la porte, grande ouverte et lui souris. Il en faisait craquer, des femmes, ça ne m'étonnait pas !
Il ne tourna pas la tête, conscient que j'étais bien là, et j'étais assez furieuse, ils étaient fait l'un pour l'autre ces deux là, mais ils ne le voyaient pas, et j'avais envie de leur taper sur la tête pour qu'ils s'en rendent compte !!!

Je ne savais pas si je le dérangeais en pleine réflexion, alors je demandai d'abord la permission d'entrée, question d'habitude :

« Je peux ? » dis-je bien fort, sachant bien qu'il m'entendait, mais je voulais qu'il sache que je venais pour quelque chose d'assez important.

Sans attendre qu'il me réponde, je vins m'asseoir sur son lit, un peu à l'écart. Je le regardais, il était toujours tourné vers la fenêtre, et il avait toujours cet espèce de sourire dragueur en coin qui m’exaspérait !! Je souris, j'étais énervée contre lui et en même temps je compatissais, énervée parce qu'il ne se rendait pas compte qu'il était complétement dingue de Marianne et compatissante car je savais bien qu'il aimait la gente féminine, il l'adorait même, il ne pouvait s'empêcher de draguer, de jouer les séducteurs juste... pour savoir qu'il plaît ! Mais je voulais qu'il se batte pour Marianne, non qu'il la laisse filer car elle avait osé émettre des doutes à son sujet... :

« Waren... mais qu'est-ce que tu fais... ? »

Après avoir laisser Marianne en plan dans le salon il a rouler a toutes vitesse vers la ville sans aucun but, aucun, il a griller tout les feu rouge, il es passer devant un certain café ou une certaine fille l'attendais, il aurait voulu s’arrêter lui sourire, savoir comment elle aller, oui il a souffert par elle, mais il la aimais et pour cela il ne veut qu'une chose son bonheur, mais là il ne pouvait pas, il ne pouvait que rouler, dans les rues, il fit demi tour en pleine rues dans un crissement de pneu atroce et repartie en sens inverse, dans une voit a sens unique, forçant tout ceux qui étais sur la route a l'éviter car lui tenais fermement le volant droit devant. chanceux peut-être mais il n'eut pas de mort, juste de la toile froissée et des petits maux, il revient se garé derrière la maison et bondis jusqu’à sa chambre, il remis sa puce dans un téléphone neuf le balança sur la commode et se laissa tomber sur le lit il contempla le plafond, le coeur meurtrie ! Le cerveau en folie. Malgré tout il entendis les pas fin de Rosaleen venir vers lui, il se souvient de sa premier rencontre avec elle, sublime jeune demoiselle si vif, si pleine de vie. Cela donner espoir que dans leurs vie, quelque chose de beaux pouvait arrivé, mais là de am voir ne changera rien au nuages noir qui emprisonne son coeur. elle demanda si elle pouvait entrée il ne répondis pas, d'un car il sais qu'elle rentrera quand même et car deux il ne voulait pas qu'elle rentre, il et en colère, colère contre lui même, contre l'univers, contre tout !! sa fait mal , si ma. Il se tourna de coté alors qu'elle pris place sur un coin du lit. Content tout de même de la voir, ses lèvres s'étirèrent en un fin smile. elle parla d'un coup son ton lui fit comme une lance planté dans ses sentiments, il se retourna brusquement la faisant chaviré sur le lit la dominant de son corps, son regard dans le sien.

____Là tout de suite je te séduit Rosaleen, je ne suis fait que de cela !

Bien sur qu'il ne fera jamais rien avec elle, même si il dois l'avouer il la trouve sublime. Quand il la connu avec son frère il a bien pensais a la séduire a l'avoir quelque fois dans son lit, elle es si pleine de vie, si belle et elle a se coté si fragile qui lui plait temps. Mais il ses installé autre chose, une attirance et uen forte amitié entres eux, alors la couché sur elle, ce n'est pas de la séduction et elle ne criera pas au scandale, elle le connait, elle sera qu'il est plus mal qu'il ne veut bien le dire. et son regard lui cris presque " aide-moi"

Son corps pesait de tout son poids sur le mien, il avait toujours ce sourire plaqué sur le visage, mais celui-ci, c'était le sourire séducteur. Cela faisait déjà quelques années que je le connaissais, et je crois même le connaître plus que lui-même, c'est pour dire !! Je le regardais quelques instants, bien consciente qu'il n'oserait rien, j'essayais de le faire réagir comme je le pouvais...

« Je suis plus que certaine que tu t'en veux, avoues, t'es juste en train de penser à Marianne là ! Mais écoute, si t'es bien sûr de vouloir qu'on couche ensemble alors ok, pas de soucis ! »

Je le voyais bien dans son regard qu'il était mal, qu'il avait mal. Je voulais juste l'aider, et j'espérais qu'il comprenne pourquoi je faisais tout cela, je ne veux que le bien de ma famille, de mon clan, et chaque personne qui la compose est unique, je les aime tous pour ce qu'ils sont. Je souriais à présent, je savais qu'il allait retourner bouder sur l'autre côté du lit après avoir entendu ce que je lui avais dit, je n'aime pas le voir comme ça, mais il fallait bien que je lui parle de Marianne et pour cela, j'étais obligée d'être dure avec lui, je pense qu'il savait que je faisais cela pour lui, juste pour l'aider..

Il n'avait pas encore bougé, et je le regardais dans les yeux, lui comme moi ne voulions en aucun cas avoir une relation, c'était certain, il était mon ami le plus cher, et je pense représenter la même chose pour lui, je ris alors, d'un fou rire assez incontrôlable ! Il devait se demander ce qu'il se passait, je trouvais tout simplement cette situation comique !! On était tous les deux, proches, et on aurait très bien pu déraper, mais le fait que nous soyons amis changeaient la donne.

Je me stoppai et attendis sa réaction, je souriais toujours, je savais qu'il prendrait la bonne décision :

« Alors ? » lui dis-je encore une fois.

On dirait un petit lutin, avec son visage enfantin, ses grand yeux a vous damné, ses sourire malicieux, ses cheveux étalé sur le drap. Elle exerce sur lui quelque chose de beau et de rare, quelque chose don il n'a pas l’habitude. Il aurait très bien put tomber amoureux d'elle, il faut être difficile pour ne pas être sous son charme, sauf qu'il ne la jamais envisager et du moment ou il a vue et connu Marianne, son coeur avait choisi sa voie sa destiner. Au dessus d'elle, les yeux dans les yeux. Il crispa les mâchoires et les poings avec lesquelles il se maintenais légèrement au dessus d'elle a ses mots, au prénom de Marianne elle est la seule a vraiment savoir ce qu'il a toujours ressentit pour la brunette aux yeux de biche. Il pencha par la suite son visage au reste, quel ne le cherche pas trop, non plus dans cette état il est cap du pire, même s'il ne pourra que le regretter, sa serait comme faire cela avec sa jeune soeur, sa le détruirait, sans retour possible, mais il peut l'(embrassait, ça il avoue qu'il est curieux de voir comment elle s'y prend. Il soutenu son regard encore un long moment sans dire le moindre mots, il n(en a tout simplement pas envie, ces mots qui'l retiens serait violent et dit sous l’impulsion donc en partie faux, il fini par se laisser tomber sur le coter du lit et s'assis sur le coin du lit en ouvrant son tiroir pour en sortie ses clopes et le briquet ui va avec de quoi c'en grillé une. Il tourna son regard avec elle a son " alors" il haussa les épaules et fixa la fenetre.

____Qu'est-ce que tu veut que je te dise, que après tant de temps, je lui avoue l'aimais et qu'on as passée notre temps a se douter, ce qui prouve qu'on a rien a faire ensemble, j ne..suis pas le genre de mec qui lui faut voilà tout

sa fit mal de le dire, a haute voix.Dans sa tête cent fois il a imaginais ce moment. Cet echec lui pèse, il tenait a cela, il a trop de fois espèré qu'elle ressente la même chose, trop de fois il a etais sur le point de tout lui dire, maintenant c'était fait et c'était pire qu'avant, car maintenant même leurs amitié n'est plus possible il baissa le visage regardant le sol

____J'en peut plus Puce, je ne sais plus quoi faire, je l'est eut une seconde c'etais merveilleux et ..... suis c*n d'avoir pensais qu'un type dans mon genre et une chance avec elle...

Il réfléchit une seconde, je ne voulais pas qu'il soit vexé ou en colère après ce que je lui avais dit, j'avais peut être été un peu dure sur ce coup là, mais le fait qu'il soit si mal me tue, j'aimerais pouvoir faire quelque chose pour l'aider, mais j'avais l'impression que quoi que je fasse, il serait toujours torturé...

Il alluma alors une cigarette, je le regardais, il avait toujours ces petits yeux tristes, j'aimais beaucoup lorsqu'on passait du temps ensemble, à se parler, se confier ou tout simplement à se chamailler, il était quelqu'un d'autre avec moi, et je préférais ce Waren là au dragueur insensible !! Je souris et lui piquai alors une cigarette que j'allumai, prenant le temps de tirer quelques bouffés.

Il pensait alors qu'il n'était pas l'homme qu'il fallait à Marianne, je me demandais bien pourquoi, au contraire, ces deux là étaient fait pour être ensemble, et ça se remarquait ! Peut être qu'il n'avait tout simplement pas assez attendu, ou pas assez prouvé son amour, je savais que Marianne était du genre à attendre des preuves d'amour, quelque chose qui lui prouve qu'il est sincère.

Je tirai une autre bouffée et lui dit :

« Crois moi, vous êtes fait pour être ensemble, et si ce n'est pas maintenant, ce sera plus tard, mais un jour vous finirez tous les deux, et vous serez heureux »

Je tournai la tête vers lui, il n'a pas l'habitude de se dire qu'il pourra être heureux un jour, mais moi je pensais qu'il pouvait l'être, et surtout qu'il le méritait, malgré les apparences, c'est un mec bien, quelqu'un de confiance et rien que pour cela, je voulais qu'il soit heureux pour l'éternité.
Ca me faisait terriblement mal de le voir souffrir ainsi ! Il regardait le sol, l'âme peinée et le regard vide, sans aucune lueur de joie, ou de malice..
Je ne savais pas comment lui expliquer que j'étais certaine qu'ils s'aimaient tous les deux, et qu'un jour ou l'autre, ils arriveraient à être ensemble, sans trop de dispute.
Il avait toujours les yeux rivés sur le sol, je me rapprochai alors de lui et vint poser ma tête sur son torse, je lui encerclai la taille de mes petits bras qui paraissaient frêles à côté des siens, j'avais plutôt un air boudeur :

« Laisse faire les choses, laisse lui du temps, je sais que tu lui en donnes pas mal en ce moment, mais elle t'aime aussi, il faut juste qu'elle soit sûre de la stabilité de votre relation, il faut qu'elle se rende compte du mec bien que t'es !
Bien sûr que t'as tes chances avec elle, t'es le seul homme qui ait jamais autant compté dans sa vie !! C'est juste qu'elle a besoin que tu lui prouves qu'elle peut te faire confiance. »

Je relevai la tête et le regardai, il avait la mine défaite, et je lui fis un petit sourire triste. J'essayais de le serrer fort des mes bras, pour qu'il sente que je ne l'abandonnerai pas, je reposai alors ma tête sur son torse et attendis sa réponse.