Sujet: L'orphelin sans amour Lucas Beleren Cullen Jeu 21 Juil - 21:21
Lucas B. Cullen
« feat Chase Ellisson»
8 ans
22 juillet 2003
Américain
Compliqué
FAMILLE
HISTOIRE
Le 22 juillet 2003 vît la naissance de Lucas Beleren. Le fils de Lilianna et Jace Beleren. Pour eux, il était le plus beau bébé du monde. Il le choyèrent et l’aimèrent inconditionnellement malgré leur jeune âge. Son père, 26 ans, sortait tout juste de son université de droit avec un Doctorat en poche et intégra le parquet de Seattle comme avocat. Sa mère, 27 ans, avait en poche une licence d’esthéticienne et un master d’économie. Mais avec la naissance de son enfant proche, elle n’avait pas encore cherché de boulot préférant s’occuper de lui. Elle accueillait de temps à autres des gens pour leur dispenser des soins.
Ainsi, Lucas grandit dans un cocon remplit d’amour et de joie. Dès son plus jeune âge, on remarqua chez le garçon une forte propension à adorer les peluches mais aussi un certain don pour la musique et la chanson. Ses parents comprirent très vite les trois façons de le calmer quand il pleurait. La première était de lui caler une peluche dans les bras. Mais si la peluche ressemblait à un Koala, il se calmait plus vite. L’autre manière était de lui passer de la musique douce ou du rock mélodique (nightwish-Tarja Turunen…) mais jamais de la musique violente. La dernière ne s’utilisait qu’en cas de crise ingérable. Il fallait faire les deux à la fois. Lui refiler une peluche tout en mettant de la musique et en le berçant. Donc autant dire que le garçon n’était parfois pas de tout repos.
C’est quand il fût en âge de parler que l’on remarqua son don vocal. Il avait une voie douce, suave, mélodique. Mais son timbre n’était pas son seul charme. En effet, en grandissant, il devint un adorable garçon au physique avantageux. Ses cheveux roux mi-long laissaient apparaître des yeux d’un bleu cyan époustouflant. Son corps lui restait équilibré et son rapport taille poids semblait idéal. Du moins le dernier médecin qu’il rencontra dit cela à ses parents.
La vie de Lucas se passa très bien. Il commença à aller à l’école à 3 ans et ses maître le trouvaient déjà fort intelligents. Sans doute les gènes de son père et de sa mère. Il passa les étapes de sa scolarité sans encombre. Mais toute cette belle histoire se devait de cesser. Et c’est le jour de ses huit ans que la vie de sa famille bascula pour toujours.
Ce jour là, ses parents n’étaient pas allez travaillés et l’emmenèrent au parc d’attraction, au zoo, au cinéma et à la piscine, avant de prendre une glace bien mérité avant de rentrer. En bref la journée idéale pour tout garçon de son âge. Il fallait donc bien que le tableau se ternisse quelque peu. Avant de quitter le bar où ils avaient prit la glace, Lucas eu besoin de se rendre aux toilettes. Ce qu’il fît «comme un grand». Mais une fois dans les toilettes, tout bascula. Pourtant tout avait bien commencé. Il sentit comme un courant d’air derrière lui avant une vive douleur juste au dessus de son épaule gauche.
Cette dernière était insupportable et il s’effondra au sol et gémissant, hurlant et en se tordant sur le sol. Ce boucan interpella l’ensemble du personnel ainsi que ses parents qui appelèrent une ambulance voyant que la douleur ne se calmait pas. Il fût transportait d’urgence à l’hôpital mais les médecins ne parvinrent pas à définir pourquoi leurs plus puissants calmants n’avaient aucun effet et par la même ce que le garçon avait. Ils décidèrent donc, avec accord des parents, de mettre Lucas dans un coma artificiel. Mais ils prirent aussi soin d’avertir que le coma ne permettra pas de faire cesser la douleur. Juste aux muscles d’arrêter de se contracter et de faire risquer au garçon un infarctus fatal.
L’enfant fût donc plongé dans le sommeil artificiel souhaité. Mais comme les médecins l’avaient dit, la douleur ne s’arrêta pas. Il sentait chaque centimètre carré de son corps brûler comme si on l’avait plongé dans un bûcher. Quoi que non en fait. Un bûcher à côté de cela aurait juste été une flamme agréable. Tel un feu en hiver en fait. Il ne saurait décrire cette horrible sensation de torture. On aurait dit qu’un démon s’amusait à le fouetter avec un fouet ardent sur chaque parcelle de son corps avant de cautériser les plaies avec tout autant de sadisme. Pendant son martyr silencieux, les médecins lui firent toute sorte d’examen à la recherche de la maladie qu’il avait. Ils tentèrent tout sur les maladies existantes donnant de tels symptômes : Légléria, sclérose en plaque, cancer, Guillain Barret…….. Tout y passa mais tous les résultats s’avéraient négatifs.
Puis sans que l’on puisse l’expliquer, la douleur cessa d’elle-même et Lucas se réveilla. Quand il ouvrit les yeux, sa vision se troubla un instant avant de redevenir claire. Très claire. Trop même. La lumière feutrée qui régnait dans la pièce lui faisait mal aux yeux. Ses parents se penchèrent sur lui et il leur sourit mais quelque chose avait changé en eux. On aurait dit que toutes leurs imperfections ressortaient au grand jour. Mais sa vu n’était pas la seule à avoir changée. Au dehors de la pièce un brouhaha ambiant et intense. Lucas se boucha les oreilles. Ses parents firent venir un médecin mais quand la porte de la chambre fût ouverte, le garçon hurla et plaqua sa tête sous son oreiller. Son odorat aussi était assailli de toute part. Mais une odeur persistait constamment. Une odeur qui lui faisait mal à la gorge. La rendant sèche.
Il regarda autour de lui et vit un verre d’au sur sa table de chevet. Il le porta à ses lèvres et bu le verre au complet avant de le lâcher et de recracher sur le sol l’ensemble de son contenu. Sa mère restée dans la pièce s’inquiéta et lui demanda de se recoucher en attendant le médecin. Lucas s’exécuta mais pendant que sa mère lui ramenait les couvertures dessus, il sentit monter en lui comme une irrépressible envie de la mordre. De boire son sang jusqu’à la dernière goutte. Cette odeur de fer qui régnait autour d’elle était délectable. A un tel point que l’enfant ne put se retenir. Alors que son père entrait dans la chambre avec un médecin, il se jetait sur sa mère. Néanmoins, il se rendit compte de ce qu’il allait faire et horrifié, il courut vers la sortie faisant valser son père et le médecin qui tentèrent de le stopper.
Dehors, la pluie battait son plein. Lucas lui était perdue. Il ne voulait pas s’arrêter de peur de se faire rattraper. Il lui fallait se cacher le plus vite possible tant que cette folie sanguine ne se calme. Il regarda autour de lui et décida alors de se rendre dans la forêt. Il se mit à courir et y fut en quelques instants. Trop rapidement à son goût. Que lui arrivait-il ? Qu’était-il devenu ? Ce qu’il pensait, ce à quoi il réfléchit en s’enfonçant plus dans la forêt, il ne voulait pas le croire. C’était des contes de fées. Une irréalité flagrante. Et si c’était vrai, alors il ne mérité pas de vivre. C’est dans cet esprit, qu’il se laissa glisser par terre et se roula en boule en pleurant. Espérant mourir rapidement.)
CARACTERE
Autrefois enjouait et enjôleur, Lucas passait son temps à rire, raconter des blagues, à s'amuser et à se faire des amis. Bref comme tout jeune de son âge. Mais la nuit de son septième anniversaire cette êtat de fait changeât. Son sourire se transforma en moue constante, il ne voulait plus jouer et raconter des blagues. Dans son subconscient seule la peur, la haine, la douleur et l'envie de ne pas rester dans ce monde dominaient. Il était devenue un garçon sans ambitions, ne voulant plus résister à la mort. Ses yeux c'étaient éteins pour toujours. La nuit il tremblait, pleurait et hurlait sa douleur, demandant à la mort de le reprendre. Il ne voulait plus aimer ou même se lier de prêt ou de loin à quiconque ayant peur de leur faire du mal. Une seule chose brillait en lui, une petite flamme à laquelle il voulait se raccrocher avant de mourir : trouver des parents à qui il ne pourrait pas faire de mal. Néanmoins, sa ne détruirait en rien la haine qu'il a pour lui et ce qu'il est devenue.
En effet, ce jeune garçon est tourmenté par le mal qu'il a fait quand il est devenue la créature hideuse et violente qu'il est aujourd'hui. Son rapport à lui même reste très compliqué et il faut constamment le surveillé car il ne cherche qu'une seule chose. Se détruire. De plus depuis ce fameux jour, il reste sur qu'il est devenue la plus dangereuse des bêtes et n'ose pas s'approcher de personnes "fragiles".
De même, il est très timide et ne s'approche pas des gens qu'il ne connait pas. Néanmoins il manque d'amour et aime recevoir des câlins. Enfin il reste a signaler qu'il est fan des peluches.
Exemple de RP
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Prénom: Flavien
Âge: secret professionnel
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Sujet: Re: L'orphelin sans amour Lucas Beleren Cullen Jeu 21 Juil - 21:42